Les sports sont nombreux, le plus populaire étant le Football. Presque tout le monde pratique un sport, en club ou en solo. Course à pied, natation, et bien d’autres. Parmi tous ces sports, la course automobile. Une discipline vaste et complète qui demande une grande préparation physique. Terminer une course demande des bras, des jambes et un cou solidement musclé.
Courir coûte souvent beaucoup d’argent
Un
pilote commence généralement en karting avant de passer soit en monoplace soit
en GT. Au niveau karting cela va du loisir au championnat du
monde. Après le pilote peut-être repéré par une filière, un
constructeur ou avoir suffisamment de moyen pour passer en formule 4 (monoplace) ou en course de voiture de tourisme sur circuit (Clio Cup, Lamera Cup, etc.).
Tout cela demande un investissement financier important,
d’abord pour l’équipement, casque, combinaison, gants. Puis
pour l’engagement auprès des circuits si le pilote possède sa propre voiture ou
d’une écurie. Si le pilote n’a pas été repéré par une filière (Red Bull Junior Team) ou un
constructeur (Renault), il doit trouver son financement. Des sponsors, de l’argent personnel et depuis quelques années le
financement participatif via les cagnottes en ligne.
Un jeune pilote qui en veut
C’est le cas du jeune pilote Alexandre Verdier qui
participera ce week-end aux 12 h Signatech by Alpine sur le
circuit de karting du Mans. L’homme originaire de Bourges
prépare avec son équipe, IRT Moderni la saison
2020. Ils ont mis en place une
cagnotte en ligne avec Fosburit pour compléter une partie du budget de la future saison.
Hormis les pilotes des 24 h du Mans ou de Formule 1, beaucoup
de pilotes doivent payer (en plus de leur licence comme tout
sportif) pour courir. Mais une passion n’a pas de prix.
Tous les week-ends des milliers d’hommes et de femmes liment les circuits du monde entier, encadrent comme commissaire de piste. Toutes ces personnes partagent leur amour du sport automobile avec des centaines de milliers de spectateurs. Un sport qui s’avère dangereux en plus de son coût important. Le décès du pilote de Formule 2, Antoine Hubert, le 31 août dernier et celui d’un commissaire lors d’un rallye en Auvergne le même week-end rappellent que ce sport est l’un des plus dangereux. De véritables gladiateurs en pistegladiateurs en piste